Les champignons et les arbres

De Wikicelium

LES CHAMPIGNONS ET LES ARBRES

Intro discours :

Comment j'en suis arrivé là, à vous parler..., résumé sur l‘écosystème, --------- ,

LES CHAMPIGNONS :

Généralités :

Lors de la symbiose, le champignon mycorhizien et la plante entrent en étroite collaboration. La plante hôte donne des sucres et des composés carbonés (issus de la photosynthèse, notamment) au champignon, tandis que celui-ci lui redistribue l’eau et les minéraux directement au niveau des racines. Le champignon se développe autour du système racinaire ainsi que dans le sol. Il se nourrit de ce que la plante peut lui offrir et lui donne, en échange, les nutriments qu’il va chercher dans le sol. Son rôle est alors de transférer les éléments minéraux essentiels au bon développement de son hôte et de permettre à l’eau de rester au plus proche du système racinaire.

Rôle des champis : 3 catégories de champignons =>

Comestibilité :

LES ARBRES :

PENSER OU PANSER :

PENSER :

Ils fabriquent leur propre nourriture leur permettant ainsi de croître, se reproduire et transmettre leurs caractéristiques aux prochaines générations de végétaux par les gênes.

Les différents arbres :

Rôle des arbres :

Différences entre eux : (sol, rusticité,  feuilles, saisonnalité)  

Utilités des arbres : (abri, nourriture, fabrication, protection)

Ils sont utiles pour fabriquer des meubles, des maisons, du papier. Elles sont des espaces de repos, de promenade et de loisirs. Ils sont de véritables usines de dépollution de l'eau, du sol et de l'air. Ils absorbent du gaz carbonique et rejettent de l'oxygène.

Communications des arbres :

PANSER LES ARBRES :

Au cours de l’hiver, les arbres mettent en place quatre actions pour se protéger :
  • Stopper leur croissance
  • Fabriquer de l'antigel
  • Réparer les dommages causés
  • Préparer l'arrivée des beaux jours

Avant d'affronter l'hiver, l'arbre prend ses dispositions afin de se préparer à accueillir les températures froides et le gel. Pour protéger ses bourgeons, il entre dans une période nommée la "paradormance" : lors de cette phase, l'arbre va ralentir sa croissance et se mettre en veille. Il va même jusqu’à former des écailles là où naîtront les futures pousses feuillées : ainsi, elles pourront éclore sans crainte lorsque les beaux jours reviendront.

Cette phase de paradormance dure généralement jusqu'à la fin du mois d'octobre. Ensuite, l'arbre entre dans la phase suivante, nommée "dormance". Lors de cette phase, il n'y a plus de croissance du tout. Bien qu'il arrête sa croissance, les mécanismes naturels de l'arbre ne s'arrêtent pas complètement, bien au contraire !

C'est au tour des mécanismes de protection contre le gel de s'enclencher, et ce partout dans la plante : bourgeons, rameaux, tronc et racines. Ils sont influencés par les températures du sol et de l’air et par leurs fluctuations au cours d’une journée d’hiver (souvent négatives le matin mais pouvant atteindre jusqu'à 15°C l’après-midi).

De ses racines jusqu'aux tissus conducteurs de son tronc et de ses branches, l'arbre travaille pour maintenir les mécanismes biologiques nécessaires à sa survie : la respiration des cellules, la pousse des racines et même, chez ceux qui ont la chance de garder leurs feuilles (pins, sapins, chênes verts...), la photosynthèse ainsi que la transpiration. Le faible ensoleillement et les faibles températures ralentissent tous ces mécanismes, qui demeurent présents durant l'hiver, invisibles mais indispensables.

En plus des mécanismes de protection à proprement parlé, les arbres mettent également en place des processus de réparation : complémentaires aux premiers, ils sont là pour empêcher la formation de bulles d’air lors des cycles de gel-dégel dans les vaisseaux chargés de transporter la sève brute, des racines jusqu’au sommet de l’arbre, et ainsi permettre la remontée de la sève au printemps.

Désinfecter la plaie avec un produit cicatrisant qui va permettre de bien boucher les petits orifices, à appliquer au pinceau sur toute la surface. Avec une petite spatule, appliquez enfin de la Glu arboricole sur toute la surface blessée. Cela agira comme un pansement, et protégera l'arbre des parasites.

Tel est le débat que je lance dans vos discussions d'après

RESERVES :

Co2, protection, ombre,