PV Jardins du 25 juin 2020
Présent.e.s : Célestin, Lorin, Jean-Séb, Andrea, Manon, Marine et David.
Lieu : Alterrapy
Potentielle collaboration avec A.Oppliger
Discussion autour de la mise en commun de nos projets. Ils sont vraiment motivés par notre projet:) Marine a fait l’école d’agriculture et peut donc exploiter des terrains agricoles.
Ils nous disent qu’ils imaginent pouvoir nous laisser un hectare. A côté de notre projet, ils pourraient louer des parcelles pour des familles.
On se dit que ca pourrait hyper bien se compléter : on pourrait conseiller aux gens qui sentent le besoin de gérer l’idée de travail investit par rapport à ce qu’ils peuvent avoir en retour de louer une petite parcelle privée tout en pouvant profiter de la beauté du jardin communautaire.
On se dit aussi que ca permet d’avoir une offre diversifiée selon les publics : des jardins privatifs pour les gens qui préfèrent faire leur truc, un jardin communautaire, inclusif et didactique comme antenne du projet et un jardin participatif-production-système b à la Cibourg.
Ils demandent plusieurs précisions sur notre projet : quels types d’aménagements ? Combien de personnes imaginons-nous «recruter»? Que faire de la production ?
Nous parlons longuement de la nécessité ou non de sortir le terrain des paiements directs et des contraintes liées aux constructions. Nous imaginons pouvoir laisser le terrain dans les paiements directs. Si nous décidons de nous installer sur leur terrain, il faudrait que Marine vérifie dans la loi quelles sont les conditions de culture pour pouvoir toujours toucher les paiements (elle dit que c’est relativement contraignant…).
A la réunion du 3 juillet, il faudra donc soulever ces questions, c’est à dire demander plus de détails quant aux contraintes pour recevoir les paiements directs sur un terrain agricole et aussi les contraintes par rapport aux constructions !
Si nous collaborons, nous imaginons plutôt faire un contrat entre nous sans faire passer ça à la chambre de l’agriculture. Bien plus simple et en plus on peut profiter du papier de Marine pour pas avoir de contraintes en tant que non-paysan.
Nous convenons donc d’attendre de voir ce que la ville nous propose le 3 juillet avant d’aller plus loin dans les démarches entre nous.
Il y aura notamment la question de savoir sous quelles conditions ils nous laissent un hectare… Ils ont l’air ouverts et motivés en tout cas !
