PV Jardins du 7 juillet 2020

Présents : Célestin, Louise, Jade, Noé, Jean-Séb, Manon, Lorin, Andrea

Lieu et heure : Alterrapy, 17h30

Rencontre avec Louise, la voisine à Jean-Séb qui était intéressée et motivée par le projet. Elle crée des plants et serait d’accord de nous en procurer si besoin.

Nous avons partagé nos points de vue sur les trois terrains à notre disposition (Arrêtes, Cibourg, Musée paysan) afin de prendre une décision.

Musée paysan :

L’antenne du jardin Mycélium car :

• Très bonne localisation pour l’aspect social non négligeable et bon nombre de collaboration possible avec les « voisins » 😉, comme le musée.
• Très bon avantage que ce soit en zone verte (construction plus facile mais encore à clarifier avec l’urbanisme)

Manon s’occupe de faire la lettre pour informer la ville qu’on aimerait ce terrain et fera un mail pour clarifier :

• Délai pour avoir le terrain à notre disposition
• Type d’aménagement possible
• Limite entre la zone protégée et la zone verte
• Point d’eau sur le terrain
• Leurs positions face à notre dossier, sont-ils vraiment conscients et sûrs de tout ce qu’on projette ?
• Que peut-on ou pas réellement entreprendre

Arrêtes :

Possibilités envisagées	Contraintes
Collaboration entre notre projet et celui d’Alain et sa femme -> jardin privatif et participatif	-Perte de paiement direct vu qu’il y a un accueil social ? -Zone agricole -> grosse difficulté pour construire -Cotisations des membres assez pour rentabiliser un minimum les Oppliger (qui souhaitait de base du rendement) ?
Purement production (paiement direct touché)	-Gros travail, assez de bénévole motivé ? -Si accueil de bénévole ou si culture de plantes médicinales, fleurs… = plus de paiement direct ? -Il faut un agriculteur pour produire sur plus de 2000m2

Cibourg :

Possibilités envisagées	Contraintes
Production	-Pas la possibilité d’y aller tous les jours -Un peu loin pour les bénévoles ? -Zone agricole donc même contraintes qu’aux arrêtes

Il y a beaucoup de possibilité avec les deux terrains (arrêtes et Cibourg) mais tout dépend des attentes de chacun (projets, objectifs, délais, implications…).

Il faut clarifier la situation avec le couple de la Cibourg et les Oppliger. Et surtout clarifier avec eux, à quel moment ils ont besoin d’une réponse définitive. Célestin les contacte tous deux et créé un doodle pour organiser une séance, dans l’idéal la semaine prochaine.

La séance consistera à leur donner un retour sur notre situation et comment ils veulent se situer face au projet. Ce sera une discussion et non une prise de décision. Vu le nombre de possibilité il faut bien se renseigner et être sûr qu’on ne s’éparpille pas. Établir plutôt des réseaux afin de se compléter.

Jean-Séb contactera l’agriculteur qu’il connait.

A faire:

De sûr on peut déjà entreprendre les démarches « non-jardinage » :

• Observer attentivement les terrains (ensoleillement, vent, insectes…)
• Lever de fond pour les arbres fruitiers, les haies, les semences…
• Récupérer du matériel
• (Poser un piège vidéo pour savoir quel animal passe sur le terrain)
• Se réunir pour penser à un design tous ensemble basé sur nos connaissances
• Faire une séance avec les personnes motivées à nous soutenir pour leur présenter notre projet et où il en est. Ça nous permettrait d’avoir un ordre de grandeur des bénévoles qui nous aideraient lorsque nous aurons le terrain. D’après Jean-Séb, 10% des motivés sont Vraiment motivés.
• Idéalement faire le design définitif (auprès d’un professionnel) avant d’accueillir les bénévoles afin qu’il y ait une structure de base.